Le crépuscule donnait son habituel lumière, glauque, faisant songer au sang…sang qui ne tarderait pas à couler En effet, dans le la capitale les nouvelles allaient vite, tout le quartier populaire était déjà aux courent des évenement de la matinnée. Ainsi, c’était la guerre.

Dans le quartier populaire, les habitations entassées abrite des gents qui ne serons vraiment concerné par cette guerre que par leur impôt et les probables levés en masse qui ne tarderait sans doute plus. En claire, quel que soit les raisons, cela ne faisait que poser des problèmes. Aussi, les raisons, tout le monde n’en avait que faire.

Le seigneur de Maté n’avait pas pu non plus ce procurer les raison du conflit, et n’en avait que faire. La nouvelle le ravissait. Inconnu de la société humaine, il ne serait pas appelé au front. Aussi, il pouvait profiter du chaos. Pour prendre le pouvoir. La chose serait aisé durent le conflit. Surtout en fin de conflit, alors que les nations engagent toutes leurs forces sur le front, négligent la garde du trône.

Pour le moment, le projet était stupide à mètre en œuvre. Déjà, toute les force militaires ce trouvaient encor dans le pays, de plus, il était encor impossible de savoir qui allait gagner. Dreyaz devait prendre le contrôle de la nation qui écrasait l’autre, et non l’inverse, car quel intérêt de prendre un trône don l’autorité est mise en question par la guerre ?

De plus, Dreyaz n’était pas pressé. Il avait des millénaire d’existence derrière lui, attendre quelques moi n’était pas un problème. Cependant, il était inutile de ne faire qu’attendre. On ne renverse pas un ou un monarque seul. Il devait ce faire des allier. Un noble renversant un roi, trop classique. Non, ce roi ou cette reine, c’est sous l’apparence d’un jeune homme d’une vingtaine d’année qu’il le renverserait.

Il deviendrait alors célèbre. Plus que n’importe quelle autre personne ayant effectué un tel complot. Cependant, il ne serait célèbre que sous cette forme. Il en prendrait milles autres pour assurer sa conquête du monde sous le nom de ce jeune homme. Le domaine divin suivrait.

Alors que Dreyaz montait ses sombres projets, il marchait dans les rues du quartier populaire, sous la forme d’un innocent enfant, sous une soutane de luxure. Il avait ôté sa capuche, laissant le rayon du soleil sanglant illuminer son visage souriant. Il avait bel et bien choisis le meilleur moment pour abandonner sa noblesse. Sous l’identité de ce jeune orphelin, personne ne le connaissait. Cependant, il chercha un homme idéal pour son projet. Il trouva dans une taverne, un jeune homme. Barbut, l’air joyeux qui buvait en ce ruinant aux cartes. Dreyaz le vit, le suivit lors de la fermeture de la taverne et attendit paisiblement le moment opportun. Lors ce qu’il fit nuit, le jeune homme continuait d’hairer dans les rues, et personne ne s’y trouvait.

Grace à ses pouvoirs mentaux, Dreyaz renforça la migraine de son homme, due à l’alcool. Ce dernier s’arrêta et ce pris la tête, alors que Dreyaz arrivait derrière lui, armé de son arme qui avait pris la forme d’une dague. De sans froid, il trancha la gorge de l’homme. Pui il observa son cadavre. Les cheveux emmêlés avec sa barbe étaient noires. Ses yeux bruns. Monsieur tout le monde en fait. Il ne disposait pas d’une carrure sortant de l’ordinaire. Dreyaz regarda autour de lui, lui pris sa bource, la constata vide. Il prit la forme de sa victime, et regarda son arme. Elle avait pris la forme d’un coustil, guerre plus dangereux qu’une autre arme…

*Tu m’as habitué a mieux…*

En effect, le point fort de cet homme était d’être banale et de passer partout, il était donc équiper d’une arme discrète que tout le monde pouvait procéder. Mais il était décevant de ne pas avoir un de ses stylets d’assassin professionnel, ou épée si maniable et si dangereuse dont il avait pris l’habitude.

Dreyaz repris sa forme principale d’enfant et repartit. Cet homme ne risquait plus de ce faire remarquer lors ce que sa forme deviendrait célèbre. Dreyaz avait appris a pence a long terme ainsi, c’est aussi pourquoi il ne voulait pas quitter le royaume sous cette forme. Officiellement, cet homme n’existait encor pas.

Il contait en effet quitter le royaume. Il aurait du mal à lever une armée contre leur reine ici. De plus, il pouvait malencontreusement tomber sur quelqu'un qui connaissait l’homme qu’il avait abattu. Ysyngwen était le plus prêt. Il serait alors à égal distance de n’importe quel royaume.

Dreyaz marchât durent sept jours, ne s’arrêtant que très peut. Il n’était pas pressé d’arriver, mais devait absolument ce tenir au fait de tout événement. C’est pourquoi, il ce rendit a Valendra. Il serait mis rapidement au fait de tous les événements d’ici.

Il prit sa nouvelle forme. Le jeune homme de 23 ans, tel était l’âge qu’il lui avait inventé. Il lui avait inventé toute une histoire également, il ce ferait nommer Hel Kalis. Fisse de payant, il disposait de capacité mentales dont il parlait très peut. Il était un vagabond qui gagnait sa vie en faisant divers travaux, et qui rassemblait une certaine somme d’argent dans l’attente de ce jour, la guerre. Il voulait prendre le pouvoir d’un royaume pour sa propre gloire.

Il ce muni d’un bâton et mi sa capuche avent d’entrer dans Valendra. Puis il entra dans la ville. Faubourg…N’étant plus officiellement noble, Dreyaz préféra cet endroit aux cartiers nobles. Cependant, rien à faire, c’était décidément plus fleuris que les quartiers d’où il venait. Sous sa forme de vagabond, il entra dans une auberge. Elle était banale. On y trouvait toute les classes du peuple et de la noblesse. En effect, elle n’avait pas de prix exorbitant, ni d’insalubrité. Il voulut aller demander à l’aubergiste un repas et une chambre, mais il pensa plutôt à commencer le recrutement.

« Excusez-moi, mon brave. Avez-vous vent du prochain conflit qui pourrait ce déroulé entre Isodia et Hyseth ?
- Ya des rumeurs…on est sur de rien sur ce sujet, ya rien d’officiel sa c’est sur.
- Je vois…j’aimerais m’entretenir de cette triste affaire avec quelqu’un qui exercerait dans l’art de la guerre…vous connaissez vos client n’est ce pas ?
- Oui, et je ne souhaite pas vraiment les perdre en leur envoyant des gent bizarre…
- Je comprends…Vous avez une chambre de libre ?
- Vous avez de l’argent
- Oui
- Alors oui. Vous mangerez ?
- S’il vous plaît. »

Dreyaz alla s’installer a une table. Sa petite conversation avait attiré l’attention d’une femme, a la table d’a coté.

La guerre entre Isodia et Hyseth avait été déclarée. Les rumeurs allaient déjà bon train dans tout Aedenia, mais Aurore savait tous les moindres détails de cette affaire de source sûre puisque son père, qui faisait partie du conseil d’Ysyngwen, avait été présent lors de l’intervention de la reine Rhendav. Pour le moment Ysyngwen décidait de rester entièrement neutre dans ce conflit, en grande partie à cause du fait que l‘Etat était en temps normal toujours très instable. En somme la position d’Ysyngwen restait très vague et Aurore sentait bien que certaines personnes en profiteraient pour asseoir leur pouvoir, déclencher une guerre civile ou d’une manière générale troubler la paix intérieure. Aurore, faisant partie de la noblesse, était parfaitement au courant des intentions des personnes de ce milieu mais il était également important pour elle de savoir de ce que pensaient les petites gens de ce conflit, en particulier des hommes d’ombre qui ont de l’influence dans tout le royaume. Pour récolter ce genre d’information, le mieux d’après la demoiselle était de se mêler aux endroits fréquentés, à savoir pour cette nuit les faubourgs de Valendra. C’était dans ses jolies petites ruelles pavés et fleuries que se retrouvaient pourtant tous les brigands du coin, plus particulièrement dans des auberges et tavernes aux vitres épaisses et floues.

C’est dans les alentours de 22h qu’Aurore, sous l’identité d’un jeune homme nommé Fleance, pénétra dans l’une d’elles. L’endroit était rempli de rustres saouls, occupés s’ils n’étaient pas en train de descendre d’un trait leur verre à alimenter des discussions de comptoir à propos des conflits entre Noldan et Isodia. Fleance s’assit à une table et commanda une bière à l’aubergiste. Quelques minutes plus tard Fleance fut servi et tout en avalant de petites gorgées commença à écouter les différentes conversations. Rien d’intéressant à première vue… Fleance s’apprêtait à finir son verre une bonne fois pour toute quand le bruit d’un claquement de porte se fit entendre, en effet un nouvel arrivant pénétrait le hall d’entrée puis il s’adressa à l’aubergiste. La jeune femme tendit l’oreille pour écouter leur conversation. Malgré le fait qu’elle ait été extrêmement courte, Fleance avait eu assez de temps pour comprendre que le jeune homme auquel elle avait affaire était plus qu’intéressant… Ainsi, lorsqu’il alla s’asseoir à la table à côté de la sienne, elle ne put s’empêcher de lui adresser la parole.

« Bonjour jeune homme, en laissant trainer mes oreilles j’ai malencontreusement entendu votre conversation avec l’aubergiste, croyez moi j’en suis fort désolée… Mais… Vous savez vous ne trouverez ici que des personnes qui se vantent de mille et un exploits, mais au fond qui n’y connaissent absolument rien en matière de politique et de guerre… Heureusement pour vous je suis ce soir peut être l’exception ! »

A ce moment là Fleance bondit de sa chaise et renversa le fond de son verre sur un Cenes accoudé au comptoir et occupé à courtiser une prostituée.

« Hé qu’est ce qu’il t’arrive l’ami ? Tu veux peut être mon poing dans ta figure ! »

« Tu as tout compris… L’ami ! »

Fleance esquiva sans difficulté les coups que lui lançait le cenes.

« Tu vas voir ce que tu vas prendre ! »

L’ennemi de Fleance dégaina un sabre et la jeune femme en profita pour également sortir son épée. Les lames s’entrechoquèrent un instant tandis que les deux adversaires renversaient tables, verres, bouteilles et tabourets sur leur passage. Le cenes finit par se rapprocher dangereusement de la mercenaire, les deux combattants n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre et Aurore pouvait même sentir le revers de sa lame sur le bout de son nez.

*Cet homme est plus fort que moi mais je ne laisserai sûrement pas gagner !*

D’un coup sec Fleance retira son épée et s’échappa de l’étreinte pour sauter sur une table. Son adversaire voulut la suivre mais il fut interrompu dans son élan par le lustre en bronze de l’auberge que la mercenaire venait de lui balancer de plein fouet. Suite à ce coup l’homme tomba inconscient à la renverse, le visage ensanglanté.
Toute la salle fixa Fleance avec un air ébahi, sauf la prostituée qui lui jeta un regard noir.

« Tu viens de tuer mon gagne pain trainée ! Tu crois que j’ai pas compris que t’étais une bonne femme ! »

Sur ces mots la jeune femme commença à murmurer une incantation tandis que ses yeux bleus clairs devenaient injectés de sang…

Dreyaz ce retrouvait dans une situation qui ne lui plaisait guerre. Il était claire que la prostituer allait tuer cette femme qui pouvait peut être l’aider. En effet, la prostituée pratiquait de toute évidence une magie noire. Et bien que la femme qui ce faisait passer pour un homme sache apparemment bien ce battre, elle n’avait aucune chance contre une sorcière. C’était dans l’ordre des choses, sauf les héros légendaires, les guerriers perdaient contre les sorciers. C’était ainsi depuis que ses deux arts existaient, et aussi loin que se souvienne Dreyaz, il n’avait jamais vu un guerrier battre un sorcier. Et pourtant, il en avait vu des combats confrontant des guerriers et des sorciers…il y en avait depuis la nuit des temps. Et jamais il n’a existé un guerrier suffisamment fort pour vaincre un sorcier.

Pour en revenir au présent, Dreyaz savait que l’alliée qu’il c’était peut être fait allait mourir bêtement si Dreyaz n’intervenait pas. D’un coté, il ce ferait surement d’autres allier, surement des plus prudent…d’un autre cotée, cette fille qui tentait de passer pour un homme (et don la voie la trahissait sans doute aux yeux de tous) s’était avéré une fine lame…de plus l’aider ne serait certes pas difficile.

Dreyaz n’avait pas besoin de faire grand-chose pour aider cette fille. La magie par incantation demandait une concentration immense, la moindre erreur fichait tout en l’aire. Certaine erreur d'ailleurs pouvait être fatales … Aussi Dreyaz utilisa son pouvoir pour s’infiltrer dans l’esprit de la sorcière elle pensait a l’incantation qu’elle récitait. Dreyaz lui dit mentalement quelques mots que la sorcière pris pour ses pensée et les récitât.

Tel était le défaut de beaucoup de sorciers et de sorcières d’au jour d’hui. Ils utilisaient les langages anciens pour donner plus de puissance a leurs sort, mais n’en comprenaient pas un mot. Aussi, la sorcière ne pouvait ce rendre conte de l’aberration qu’elle récitait bêtement…

Au lieu de dire qu’elle tuait la femme qui lui avait volé son argent par les force maléfique, elle disait qu’elle tuait la femme volé et avide qu’elle était par les force maléfique…deux phrases très recemblente en langages ancien, mais dont l’effet était complètement différent…

Evidement tout cela ce passa très vite, personne n’eu le temps de réagir. Les yeux de l’adversaire de Dreyaz s’ingurgitaient de sang et son cœur s’arrêta. Toute l’auberge éclata de rire, sauf les quelques messieux trop bien habiller pour aimer les luttes qui finissait de quitter les lieux. L’aubergiste quant à lui quitta son comptoir suivi de quatres homme particulièrement grands et fortement musclé. Les cinq hommes dégainaient leurs épées.

« Vous deux ! Grogna l’aubergiste en désignant Dreyaz et la fille. Vous sortez ! Je n’aime pas ceux qui apportent les problèmes. »

Dreyaz ce doutait bien que la femme voulait s’attaquer a ses cinq homme sans ce soucier du danger, aussi Dreyaz s’adressa a elle par la télépatie.

*Ne pensez vous pas qu’il serait plus intéressant que nous discutions politique que de ce battre encore…je ne puis faire de ses homme d’aussi piètre soldat que j’ai fait de cette femme une piètre sorcière. Aussi, je vous suggère que nous nous retirions*

Dreyaz ce leva, s’inclina, remis sa capuche et dit

« Navré d’avoir causé autant d’ennuis à mon hôte. Vous n’entendrez plus parler de moi…
- Tait toi, tait toi ! C’est en parlent que ta fichu ce bordel ! Alors je te demande pas d’en dire des romand, je te demande de partir ! »

Dreyaz s’inclina, pris son bâton et partit comme il était venu. Il sortit sous les regards des clients. Bien que Dreyaz fût un homme très discret, il s’était créé un personnage qui n’était pas un vagabond commun.

Dehors, la nuit était claire et étoilée, la fraicheur extérieure très agréable. Dreyaz aurait bien dormis à la belle étoile s’il n’était pas en recrutement. Il attendit que sa future allié ne sorte. Si elle ne sortait pas Dreyaz contait retourner dans l’auberge lui donner un coup de main, mais alors ils devraient fuir la garde de la ville…Une allier qui allait s’avérer cher a obtenir.

Mais elle était intéressante. Sans doute voudrait-elle appartenir à la garde royal, payé par le royaume évidement. Toujours beaucoup d’action ou toujours bien payée…c’est une de ses deux chose qu’elle désirait. Laquelle, Dreyaz l’ignorait encor, il devait parler un peut avec elle pour le savoir…ce qui ne tarderait pas à arriver.

Aurore devait une fière chandelle à l’inconnu qu’elle venait de rencontrer. Il était vrai qu’elle avait fait preuve d’audace mais qu’elle s’était tout autant montrée irréfléchie. Heureusement pour elle le jeune homme semblait plus mature et plus sage. Aurore fut d’ailleurs étonnée qu’il ait la capacité de télépathie… Elle n’avait jamais, auparavant, rencontré de personne pourvues de ce don. C’était très étrange de ne plus se sentir seul dans son esprit…

*Vous avez raison, déguerpissons d’ici avant d’avoir plus d’ennuis… *

Fleance suivit d’un pas pressé le vagabond dans la rue tout en ayant toujours le mauvais pressentiment que les événements de la taverne auraient d’autres répercussions dans la suite de leurs aventures.

« Je connais un endroit où nous pourrons discuter tranquillement… »

Sur ces mots, Aurore marcha devant le vagabond pour le mener au parc le plus fréquenté de la ville. C’était une immense place fleurie, avec en son centre un lac bordé par quelques saules pleureur. A une heure si tardive, le lieu était presque désert. Seuls quelques couples flânaient paisiblement parmi d’autres promeneurs tout aussi discrets…

« Asseyons nous là… Et dites moi ce qui vous amène à Valendra… Je suis sure que je pourrais vous être utile… »

Un parc… elle n’avait rien trouvé de plus discret….enfin sous cette identité, on ne pouvait pas dire que Dreyaz pouvait passer pour un expert en coup d’état. Aussi, il s’abstena toute remarque. Il suivit la femme dans le parc, ou elle prétendait qu’ils pouraient parler tranquiles…

Dreyaz pris soint de sonder les pencées des gents l’entourant il n’y avait apparament pas d’espions, hunniquement des jeunes couples qui ne portaient aucune oreil indiscrette a ce qui les entourrait….comme sa nouvel allier le pençais…une chance. Ce genre d’endroit était des nis a espion ou les novice ce faisait fréquement prendre.

De toute évidence les espions qui aurait du être là s’occupaient d’autres endroit. En ses temp troublé, ils devaient avoirs un travail de titant. Selon l’expérience du seigneur aussi vieux que le monde, ce soir, les espion arréterait encor une bonne vingtaine de complot contre leur rois.

Le complot de Dreyaz en quelques jours de préparation était déjà plus développé et sur de réussite que ceux qui attendaient ce jours depuis des années. Alors ceux qui tentait d’en improviser un maintenent ne lui arrivaient guerre a la cheville. Cependent, le paysan qu’il jouait ne pouvait ce vanter ainci.

*Aussi pour pouvoir prétentendre que mon coup d’état est meilleur que les autres, je doit prétendre que je le prépart depuis toujours. Même ainci, il est possible que sa perfection parraisse suspet. Je doit y incruster quelques défaut que je corrigerait plus tard…apret une officiel réflexion.*

Toujours dans son rôle, Dreyaz regarda prudement autour de lui. Il chuchota tout simplement

« Mes progets ne sont ni plus ni moin que la prise du pouvoire. Je conte profiter de la guerre pour renvercer un roi ou une reine et par ce coup d’état récupérer son pays. Je conte m’attaquer au roi ou a la reine qui aura été le plus affaibli par la guerre. Contre cette personne, les complot serons alors monet courante. Le mien sera nettement plus développé que ceux des autres vu que ma préparation date déjà de plusieurs années…il s’agirra d’assassinner le roi au moment le plus propice, au moment ou la garde sera le plus affaiblie. »

Dreyaz daigaina discrettement son coustil. Il ne tentait pas de dissimuler ce mouvement a la femme, mais ne tennait pas a allerter le peux de résident du parc.

« Je sonde actuelement les résident du parc pour ne pas m’assurer qu’il n’y a pas d’espions…et c’est fatigant. Je sais que vous n’étes pas une espionne, mais vous ête maintenent tout a fait au courent de mes projet, et vous n’éte pas sans savoir quel récompence on vous attriburait a ma dénnonciation. Cependent, si l’appat du gain vous attire, il y aurait plus a gagner a me suivre qu’a me combatre ici et maintenent. »

Dreyaz sonda une dernière foit le parc, et concentra ses pouvoires sur la femme. Il eu alors un parfait accet a ses pencées. Il demanda alors.

« Acceptez vous de me suivre ? Ou voulez vous me combatre ? »

C’était les deux unnique possibilitées. Dreyaz ne pouvait pas laisser quelqu'un partir avec son secret, même si il avait pris la précotion de ne pas révéler son nom a celle qui l’accompagnait. Ainci si Dreyaz était forcé a fuir, il ne serait pas obliger de changer de forme.

Dreyaz avait pris l’habitude de réfléchir a long terme, de pencer par année plutôt que par minute, de prévoir l’incidence de chaqune de ses parole et mouvement sur les mois avenir au minimum. Mais là, il devait pencer vite. Et bien qu’il soit concient qu’il allait avoir du mal a retrouver la confiance total de cette femme apret de tel evennement, il devait la convaincre vite et bien.

Convaincre quelqu'un de ce joindre a sa cause, c’était comme tuer. Il falait agire vite bien, et laisser un minimum de trace. Cependent, il pouvait arriver aux meilleur criminel de ratter leur coup, et fair gicler énnormément de sang…mais le principale restait de tuer la cible. Ici Dreyaz avait raté son coup et laissait des marque de non copnfiance dans le mental de l’humaine. Mais l’important restait de la mener dans son camp. Il s’agissait là d’une fine breuteuse. De toute évidence extrémement doué, elle était d’un carractére aisaiment manipulable. Exactement le type de personne dont Dreyaz avait besoin pour le sale boulot.

Bien que ses pencez travairsairent a une vitesse impressionnante l’esprit de Dreyaz, cela n’affecta pas son expression sérieuse et démontrant sa motivation et sa détermination. Dans le pire des cas, si elle s’obstinait a refuser de l’aider, Dreyaz la tuerait. Ce ne serait pas difficile pour les même raison qu’il avait songé tanto. Il était sorcier, elle était guerrière. Il devait gagner elle devait perdre. C’était une règle de la vie.